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| Héritier d’une dynastie de restaurateurs d’objets d’art, Dominique André passe son enfance et sa jeunesse dans la maison qui abrite les ateliers et participe très jeune à des travaux de restauration... |
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Dans les années 1970, en écoutant une conférence et la musique de Iannis Xenakis, il reçoit une sorte de révélation et commence à construire des surfaces réglées sous formes de structures tendues sur des supports d’altuglass, de laiton ou d’acier inox. Il expose au salon des médecins et à la fondation Paul Ricard. Le paraboloïde hyperbolique fera désormais partie de sa vie bien qu'il soit obligé d'abandonner (temporairement) ses réalisations plastiques ! |
| Depuis
plusieurs années, alors qu'il s'est installé à Bordeaux, il a repris
son travail sur le thème constructiviste du paraboloïde hyperbolique. Sa recherche porte désormais sur le rapprochement d’éléments mathématiques et de l’art abstrait sans sacrifier à la poésie ou au romantisme des courbes en relief. |
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Mêlant les surprises de la mathématique (les courbes engendrées par le déplacement homologue d’une génératrice sur 2 matrices non coplanaires) à sa sensibilité des matières et au jeu des couleurs dans l’espace, Dominique André propose des créations où paradoxalement le vide l’emporte sur la matière. Il voit chaque œuvre est comme "une promenade à travers l’espace et le temps" ! Depuis 2010 il a participé à plusieurs expositions commanditées par RentingArt (Paris, New York, Shanghai) à Krystal Park, à Neuilly sur Seine, dans le cadre du salon du Bourget pour Eurotradia International, Boulevard Hausmann à Paris 8e pour Swiss Life. Il expose aussi une œuvre de grande dimension à la Winery du château d’Arsac pour Philippe Raoux. En 2012, le Marché de Lerme à bordeaux accueillait une exposition de 15 oeuvres. En 2015, il offre une sculpture monumentale à la ville de Guéthary. Elle est installée dans le jardin de la Villa Saraleguinéa. Visiter son site pour en savoir plus... |